François Club

François Club is an observer of the night. Inspired by Hosono and Yellow Magic Orchestra, where tenderness is drunk in small strokes in iced glasses, and by Elli and Jacno’s and Sébastien Tellier’s railroad romances, François makes us live the clubs’ theater in its infinite variety. Through characters, playlets and feelings, his albums are almost a bestiary, or a herbarium, which, when you open it, exhales the volutes of the dancings and of those who populate them, in the manner of Mussorgsky’s Pictures at an Exhibition. In collaboration with virtuoso musicians (Pieuvre, Mikado, Adrien Soleiman, Dominic Vanchesteing, ) François Club weaves and unweaves the game of seduction at will. Passing from solemn laments sewn with gold and purple, to fresh flaxen rengaine, it is an ancient scene that he reproduces ad libitum: that of the fight of the hearts crushed under the sun of the Disco god.

François Club est observateur de la night. A la fois inspiré d’Hosono et de Yellow Magic Orchestra, où la tendresse se boit à petits traits dans des verres glacés, des romances sncf d’Elli et Jacno et de Sébastien Tellier, François nous fait vivre le théâtre des clubs dans son infinie variété.

Au travers de caractères, de saynettes et de sentiments, ses albums sont presque un bestiaire, ou un herbier, qui, quand on l’ouvre exhale les volutes des dancings et de ceux qui les peuplent, à la manière des Tableaux d’une exposition de Moussorgsky.

En collaboration avec des musiciens virtuoses (Pieuvre, Mikado, Adrien Soleiman, Dominic Vanchesteing, ) François Club tisse et défait à loisir le jeu de la séduction. Passant des solennelles complaintes cousues d’or et de pourpre, aux fraîches rengaine de lin, c’est une scène antique qu’il reproduit ad libitum : celle du combat des cœurs écrasés sous le soleil du dieu Disco.